"Chère Gena,
Vous souvenez-vous de notre deuxième rencontre, aussi mystérieuse et envoûtante que la première, il faut bien l’avouer ?
C’était à une fête. Je ne sais plus trop bien laquelle, mais j’y étais accompagné d’une mignonne brunette dont j’ai oublié le nom. C’était une adepte de la sodomie, avec un cul assez serré… mais c’est le seul souvenir que j’en ai ! Toujours est-il que nous nous étions assis à une table du festin et que nous devisions gentiment, peut-être sur les qualités diverses des lubrifiants. Elle était à ma gauche et je n’ai pas fait trop attention quand quelqu’un est venu s’asseoir à ma droite. J’avais juste remarqué que c’était une blonde pulpeuse.
Nous en étions à l’entrée et je discutais toujours de cul avec ma brunette, nous faisant quelques projets pour la fin de la soirée. Soudain, je sentis une main ferme se poser sur ma braguette, l’ouvrir d’un geste assuré et se faufiler sur mon sexe qui gonfla instantanément. De toute évidence, la main ne venait pas de gauche, mais de droite. Elle ne pouvait donc être que celle de la blonde pulpeuse. La main d’un geste habile décalotta mon membre et ses doigts agiles commencèrent à roucouler autour de mon gland. Je reconnus alors instantanément cette main qui s’activait insidieusement, me serrant, me desserrant, me recouvrant, m’étendant, me taquinant. C’était vous, Gena sans gêne !
Je n’osais pas vous regarder ne sachant pas comment ma jolie brunette réagirait et je continuai donc à disserter stoïquement avec elle de la meilleure manière de s’enfoncer dans un trou de cul. Sans doute excitée par notre conversation, la brunette me glissa dans l’oreille qu’elle allait explorer les toilettes. À peine partie, je m’apprêtais à me tourner vers vous pour voir enfin de plus près votre charmant visage. Mais votre main droite, d’un geste habile, fit tomber votre serviette pendant que la gauche pinçait habilement mon gland du bout des ongles. Cette pincette eut pour effet de me plier en deux, je vis la serviette, me penchai pour la ramasser. Vous en avez profité pour me pousser vers le sol, me glisser entre vos deux jambes et me présenter une fente qui ruisselait déjà et sentait un miel voluptueux. Vous avez imprimé une légère poussée sur ma tête, mais c’était inutile : je me rapprochais déjà de ces lèvres finement sculptées et totalement lisses. J’eus juste le temps de visualiser un minuscule triangle touffu et de penser que vous étiez une vraie blonde… ma langue s’insinuait déjà dans cette grotte qui n’attendait que ça. J’avais déjà léché plus d’une femme, mais vous étiez la plus exquise. C’était un véritable baiser que nous échangions. Votre sexe semblait muni d’une langue vivante dialoguant intimement avec la mienne. Nous baignions tous les deux dans un flot de délices. Vint le moment où vos jambes se resserrèrent me calant définitivement, où votre main comprima la tête sur votre trésor et où je sentis tout votre corps se cabrer et votre sexe remplir ma bouche d’un liquide au goût douçâtre et chaud. C’est ainsi que j’appris à mes dépens – ou à mes délices – que vous étiez une femme fontaine. Je n’avais pas d’autres solutions que d’avaler le précieux liquide. Je sentis alors vos jambes se détendre et relâcher leur étreinte.
Je ramassai votre serviette, me relevai un peu ébahi, et vous la restituai en échangeant avec vous un regard profond, mais complètement délavé. J’eus juste le temps de vous dire « Je m’appelle Cale et jamais rien ne me cale » que vous vous leviez pour disparaître.
Je me retrouvai à côté de ma brunette qui me glissa dans l’oreille que les toilettes étaient désertes et qu’elle avait trouvé un endroit magnifique pour se faire enculer. Je la suivis, complètement hagard. L’endroit était effectivement lubrique et je l’enculai comme je ne l’avais jamais fait en n’arrêtant pas de penser à votre sexe que je venais de découvrir.
J’avais peur de ne jamais le revoir de près, mais j’envisageai brusquement la possibilité que nos chemins allaient encore se croiser. Cette seule pensée me fit décharger d’un coup, ce qui provoqua un soupir d’aise de la jolie brunette. Elle avait un cul magnifique, mais elle, je ne l’ai jamais revue.
Je ne pensais désormais plus qu’à notre prochaine rencontre…
Cale H"
Gena
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